Après avoir hésité à me faire passer pour un intermittent du spectacle ou pour un handballeur champion olympique (si si il y en a un qui a à peu près mon physique (en juniors)), j'ai finalement reculé devant la moustache effrayante du police guard. J'aurais du à ce moment précis lui citer cette phrase puissante de Christophe Lambert:
"La célébrité c'est comme un costume. Si on fait une tâche, le costume est foutu, mais il y a toujours le même mec à l'intérieur".
Miracle, ô miracle j'ai trouvé une personne à qui j'ai pu poser une question (avant cela se limitait à un ordinateur) et qui, en plus, a apposé un visa sur mon passeport. On se dit alors que le bout du tunnel n'est pas très loin, encore que... Je dois avouer que le fait d'avoir un visa diplo m'enchantait plûtôt et que je m'étais (c'est vrai) un peu imaginé que ça simpilfierait bien des choses... Triste retour sur le plancher des vaches.
Tout est bien qui finit bien. Un visa, un point de chute pour les premiers jours, il ne me manque plus qu'un avion pas trop instable pour découvrir l'American way of Life (en vrai!)
Diplomatiquement vôtre,
V.
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